Quel VPN choisir pour une navigation rapide et sans fuite DNS ?

Quand on cherche un VPN, on a souvent deux trucs en tête : la vitesse et la sécurité. C’est normal. Personne n’a envie de payer pour un service qui ralentit tout ou qui balance quand même notre IP dans la nature. Et pourtant… c’est encore trop souvent le cas.

Je me suis retrouvé une fois, en déplacement à Lyon, à tester un VPN “très bien noté” sur un réseau Wi-Fi public. Le site d’un service gouvernemental m’a bloqué direct. Pas de bol : fuite DNS. Depuis, je fais attention. Et clairement, https://cultureinternet.com donne aussi de bonnes bases pour piger comment tout ça fonctionne. Ça m’a évité pas mal de galères, perso.

Mais au fait, c’est quoi une fuite DNS ?

Petit rappel rapide, au cas où. Quand tu tapes une adresse comme bcbj.org dans ton navigateur, ton appareil demande à un serveur DNS de le traduire en adresse IP. Sans VPN, c’est souvent celui de ton FAI qui gère ça. Avec un bon VPN, cette requête passe par un tunnel chiffré… sauf si le VPN est mal foutu. Là, ton FAI voit quand même ce que tu consultes. Pire : certains sites peuvent aussi le savoir. D’où l’expression “fuite DNS”.

Donc oui, un bon VPN doit absolument bloquer ces fuites. Sinon, ça ne sert pas à grand-chose.

3 VPN testés qui assurent côté vitesse ET confidentialité DNS

1. NordVPN – Le plus solide côté infrastructure

NordVPN, on en entend souvent parler, parfois trop. Mais en testant sur fibre comme sur 4G (merci les trajets en train…), j’ai rarement eu de ralentissements notables. Et surtout : aucune fuite détectée avec des outils comme DNSLeakTest ou BrowserLeaks. Leur option “Threat Protection” est un plus sympa, même si parfois un peu trop agressive sur les pubs. Bref, fiable et rapide.

2. Mullvad – Le plus discret (et éthique ?)

Celui-là, c’est un petit chouchou des geeks. Mullvad ne te demande même pas ton e-mail pour créer un compte. Tu paies, tu reçois un numéro, et basta. Niveau vitesse, c’est très correct, surtout en Europe. Et côté fuite DNS, rien à signaler. Le logiciel est open source, ce qui rassure. Et perso, j’aime beaucoup leur côté “pas de blabla, pas de pistage”.

3. ProtonVPN – Pour les plus parano (dans le bon sens)

ProtonVPN, développé par la team derrière ProtonMail, mise tout sur la sécurité. Interface clean, serveurs “Secure Core” (qui passent par des pays sûrs), audit public régulier… Ça inspire confiance. Un poil plus lent sur certains serveurs gratuits, mais dès qu’on prend l’offre payante, c’est fluide. Et bien sûr, pas de fuite DNS détectée.

Et les pièges à éviter ?

Franchement, méfie-toi des VPN gratuits ou de ceux “illimités” sur des app mobiles douteuses. Trop de promesses, pas assez de preuves. Tu veux tester ? OK, mais utilise toujours des outils pour vérifier les fuites DNS. Et lis bien les conditions : certains vendent tes données, tout simplement.

Ce qu’il faut retenir

  • Un VPN rapide, ça se teste sur ton propre réseau, pas juste sur les specs du site officiel.
  • Un VPN sans fuite DNS doit le prouver. Utilise des tests en ligne pour t’en assurer.
  • NordVPN, Mullvad et ProtonVPN sortent du lot en 2025, chacun avec ses atouts.

Et toi, t’as déjà eu des soucis de fuite DNS sans le savoir ? Tu utilises quoi aujourd’hui ?

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